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jeudi 11 décembre 2025

Au Cœur des Jours Fragiles

 


La maladie s’avance, imprévue, sans raison.

Elle frappe jeunes ou vieux, sans jamais prévenir.

Elle bouleverse un corps, ébranle une maison.

Et fait trembler le fil fragile de l’avenir.


La vie est comme la marelle, on avance, on sautille.

On tombe, on se relève, on continue de regarder nos pieds.

Puis il y a cet équilibre que l’on surveille.

Pour atteindre enfin notre point de mire.


Le parcours est périlleux, parfois dangereux.

Les blessures sont fréquentes et la maladie guette.

On se soigne, on espère guérir de ce mal.

On est tenace, cela passe ou cela casse.


Chaque jour est un combat, un souffle, une prière.

Une souffrance, à quand viendra-t-elle, la délivrance ?

Notre devise se serait de ne pas baisser les bras.

De fuir la pénombre et ne voir que la lumière.


Quand la douleur s’installe et tourmente nos jours,

Elle pèse sur l’esprit, elle fatigue le cœur.

Mais au milieu des ombres surgissent de les secours,

Un mot, un regard tendre, une main contre la peur.


La médecine apaise, soulage ou parfois guérit.

Elle éclaire le chemin où nos forces vacillent.

Chaque progrès, chaque soin doucement agrandi

La part de lumière au bout de nos batailles subtiles.


Pourtant le plus puissant, le plus doux des remèdes,

C’est l’amour partagé dans nos instants brisés.

Une présence, une voix, qui nous tient quand tout cède,

Et qui murmure : avance, ne renonce jamais.


Car l’humain est tenace, même ébranlé, blessé,

Il porte en lui un feu que rien ne peut éteindre.

Et malgré les tourments, malgré les jours passés,

Il se redresse encore, choisit de se maintenir.


Il est des maux cachés que nul ne peut voir.

Des douleurs silencieuses, invisibles aux yeux.

Elles pèsent chaque jour, sans jamais vouloir choir.Et elles rendent chaque geste un combat périlleux.


Ceux et celles qui combattent chaque jour la maladie

Ils ont le cœur fatigué, mais résistent.

Ils comprennent l’importance de vivre pour les siens.

Et prient pour que plus rien ne leur fasse souffrir.

©Christiane Co-créé avec Yiaho


mercredi 10 décembre 2025

Havre de paix et d’amour

 


Cela sera toujours dans mon havre de paix.

Que ta présence illuminera mon ciel

Des étoiles dans ses yeux brillent tels des diamants.

Tu es mon soutien, mon âme-sœur qui guide mon chemin.


Tel le velours, tes bras m'entourent.

Une douce chaleur, pleine de douceur

Tant de sensations dans nos passions

Tant d'émotions dans notre amour


Dans cette rencontre du bout du monde

C'est dans tes mots que je te rejoins.

Dans l'attente de te revoir

Dans l'expression d'une passion



La vie nous mène dans une aventure.

Nulle ne sait où elle se termine.

Du présent, on en fait des souvenirs.

D'un baiser que l'on n'oublie pas.


Ma tendresse est une éternelle caresse.

Tu es le soleil qui réchauffe mon cœur.

L'hiver, est-il une étape dans ton silence ?

Mais toujours appris à être patiente.


Ma plume est un plaisir secret.

Son encre est l'élixir de mes désirs.

Les nuits m'emmènent inlassablement.

Vers des rêves éphémères, vers celui que j’aime.


©Christiane


lundi 8 décembre 2025

Les Coups de Vent de l'Âme


Il y a des jours plein de vent,

Il y a des jours plein de colère,

Il y a des jours emplis de larmes.

Mais aussi des jours remplis d'amour.


Ce feu nous donne le courage d’avancer.

D’oublier les tempêtes du passé,

La fureur du présent,

Les peines, les soucis, les oublis.


Il y a des peines et des déceptions.

Des jours à prendre des décisions,

Des moments où l’on perd la raison,

Mais il y a le bonheur quand fleurissent les fleurs.


Il y a des jours où tout semble aller mal.

Des jours à crier jusqu’à perdre la voix,

Des jours de brouillard, plein d’angoisses,

Des jours où l’on voudrait dormir pour ne plus revenir.


Mais il y a aussi l’aurore.

Le soleil qui se lève à l’horizon,

Les sentiments d’amour et d’amitié,

Des moments où l’on se sent enfin libérée.


©Christiane


 

dimanche 30 novembre 2025

Ecrire , composer ...

 


Comment faire pour ne pas se répéter ?

Il n’y a pas de pénurie de mots, seulement quand on ne parvient plus à les associer.

Le grand livre du savoir, là où se trouve la définition.

Une signification simple ou complexe.


Écrire, composer sur un sujet,

Tant d’explications qu’il faut étudier,

Que la passion de la plume reste notre guide.

Laissons notre âme s'exprimer.


Absence, silence... Que peut-on encore dire ?

Trop de phrases, voilées ou dévoilées,

J’ai tant poétisé que tout me semble monotone.

Une répétition d’amour, de bonheur, de rêves.


Entre passé et présent,

Que représente l’avenir ?

L’espoir d’un bonheur, d’une paix intérieure,

Puis-je encore croire en ce que j’écris ?


Parfois, je me contredis moi-même.

Les jours, nous rappellent-ils la vérité ?

Est-il raisonnable d’imaginer l’impossible ?

Écrire, composer nos espoirs, nos révoltes


Laissez ma main me guider vers l’espace d’une page à écrire.

Et pourtant, je reste authentique dans mes ressentis.

Je ne suis qu’une simple apprentie.

Je me lis, me relis, et me corrige.


Mais mon esprit, parfois, s'épuise.

Écrire, composer, se perfectionner,

Nulle ne peut prédire ce que ma poésie peut exprimer.

J’étale des mots, sans trop y croire.

Et voilà qu’en une simple lecture poétique, mon élan a repris quelques proses.

©Christiane


mardi 25 novembre 2025

Les tourments d’une âme en révolte

 


Est-ce la saison, ou le poids du passé,

 ou le cri du présent  ?

Une raison profonde danse dans le vent.

Lassitude, abandon, paresse,

Tant d’émotions qui s’expriment en détresse.


Dans mon esprit, un tumulte de mots,

Comme des vagues déchaînées contre le rocher de l’espoir,

Tendresse et déception, en un combat sans fin,

Rage et révolution, en un feu qui ne faiblit pas.


Chaque jour, une avalanche de nuages noirs,

Qui ensevelit la lumière de mes rêves, ?

Et dans cette tempête, mon cœur vacille.

Cherchant la clarté dans l’obscurité qui s’étend.


Ce monde en souffrance, en déchéance,

Une jungle de haine qui étouffe chaque respiration,

Trop de misères, d’indifférence,

Des âmes qui trébuchent, brisées sous le poids des

 violences.


Dans le ciel, l’orage gronde.

Les éclairs illuminent un peuple en feu.

Les puissants au sommet, comme des dieux déchus,

Qui veulent que l’on crève dans l’ombre de leur orgueil.


Les rues pleurent la pauvreté, la maladie, la détresse.

Un chant de tristesse qui traverse les nations,

Mais dans cette nuit, l’étincelle se fait la lumière,

Car même au cœur du chaos, naît l’espoir d’un renouveau.


©Christiane


dimanche 16 novembre 2025

La Valse des mots

 


Ils tourbillonnent dans mon esprit.

Se mêlant en un brouhaha confus.

Amour, amitié, actualité — vers quoi me tourner ?

Écrire, oui, c’est essentiel pour m’exprimer.


Tous ces mots dansent, chacun portant son sens.

Ou parfois, ne signifiant rien du tout,

Ma pensée en voit partout.

Quels choisir pour nourrir un poème, un texte ?

Les accorder, les rimer, ou laisser ma plume les guider.


Sur cette page blanche qui s’apprête à s’épanouir,

Se déploient des phrases tendres ou cruelles,

Thèmes réels, rêves ou mondes imaginaires,

Les mots, qu’ils soient profonds ou simples, sont un

 mélange d’émotions.


La valse des mots virevolte.

Comme les feuilles d’automne emportées par le vent,

Ils incarnent les quatre-saisons.

Chaleur ou fraîcheur, et fleurissent au printemps.


Vocabulaire tiré du dictionnaire, teinté de littérature,

Apprendre, comprendre les méandres de la pensée,

Ils incarnent la cime de nos joies, nos peines et nos colères.

Remplis de douceur ou brisés, porteurs d’amour vécu ou

 déçu.


Dans mon esprit, la chevauchée des mots s’impose.

Aiment entrer dans la danse, se faire remarquer,

Une mélodie harmonieuse qui m’autorise encore à écrire,

Exprimer tous ces sentiments, ma passion, tout ce qui

 m’anime.


C’est ici que je prends ma pause.

De jour comme de nuit, je peux faire silence.

Refermer le livre des mots, arrêter la danse,

Laisser suspendus ces moments précieux...


© Christiane


jeudi 13 novembre 2025

Poème commémoratif

 


Ce n'est qu'un rappel qui fait mal.

Dans l'ombre d’un soir, témoin de l’indicible souffrance.

Un chapelet de victimes, des forces de l’ordre a sauvé des

 otages.

Bravant la peur, avec courage, face à la terreur qui

 s’abat.


Le bataclan résonne aujourd’hui dans notre esprit.

Policiers, simples humains, sans aucune distinction

 religieuse.

Ils ont vécu ce terrible massacre.

Beaucoup, encore, pleurent, et se souviennent.


Quelle horreur, à chaque fois, l’on réitère,

Que ce soit en média ou en poème.

Une tragédie qui doit rester en lumière,

Pour que nos prières chassent la haine et l’obscur.


Si tu n’y étais pas, ce n’était ni toi, ni moi.

Mais dans nos cœurs, la blessure était là.

Partout, dans le monde entier, nous avons été bouleversés.

Chassons le fanatisme, qui est un monstre prétendant être

 fils de la religion.


©Christiane 


lundi 3 novembre 2025

L'Extase des Rêves

 



Je chéris dans mes rêves cet émoi précieux.

Que seul le poète a su m'offrir,

Un souvenir vibrant, laissant l'empreinte de nos étreintes,

Sur la toile où se dessine l'ivresse de nos désirs.


Dans ce monde, existe un lieu où l'amour règne en maître.

Un jardin rempli de tendresse, entre toi et moi,

Un univers où nos âmes se fusionnent en harmonie,

Sous la clarté de la lune, deux plumes qui s'animent.


Sous cet astre qui éclaire deux êtres qui s'aiment,

Nos mains se joignent et se serrent.

Voyageant d'une page à l'autre,

Dans la douceur et la vigueur de nos élans, exprimés en messages.


Combien de sentiments indicibles dans mon cœur !

L'envie de te faire ressentir ma présence,

Un simple soupir surgissant dans la nuit,

Qui se mue en un cri d'extase, dépassant toutes frontières.

©Christiane


samedi 1 novembre 2025

Échos d'une Nuit d'Amour

 


Je ferme les yeux et m'étends.

Pour mieux les entendre, les voir danser sur du papier.

Écouter et me laisser bercer par une mélodie

Et rêver pour qu'ils prennent vie.


Raviver la flamme de mon corps endormi,

Ressentir tes doigts dans une caresse attendue,

Sentir ton souffle dans mon cou,

Douce fièvre soupirant des "je t'aime"

Soupirs dans une nuit qui s'achève.


Deux corps en mouvement,

En-dehors de l'espace-temps,

Dans mes chimères que je sais éphémères,

Désirs ardents qui me rendent féconde.

De cet amour, il ne faut pas en avoir honte.


À l'aurore, je me réveille.

Apaisée et fraîche comme la rose.

Il me vient soudain une envie.

D'écrire et de faire des proses,

Empressée et pleine d'audace.


Je rougis, ai-je dit son nom ?

De celui qui m'a inondée d'envies pendant la nuit,

Nuit câline et de folie.

Son visage s'illumine dans chaque mot que je lui destine.

Un sourire aux lèvres, je sais que je l'apaise.


©Christiane


mercredi 29 octobre 2025

Les Voix de l'Écriture

 


Il n'est pas besoin d'être poète,

C'est un moyen d'exprimer nos pensées,

Raconter une histoire, un souvenir, un souhait,

Mettre en vers nos sentiments, à jour, en fête.


Écrire, c’est souvent explorer d'autres horizons,

Une projection de nos ressentis, même enfouis,

Une connexion à l'intérieur, à chaque émotion,

Une quête entre notre passé et notre aujourd'hui


Loin d'avoir étudié la littérature,

Nous plongeons dans l'écriture,

Puisant dans la lecture des mots, des armures,

Pour composer avec nos plumes, en beauté, en murmure.


Nous taquinons la muse,

Que ce soit en vers ou en prose,

Nous rions, nous idéalisons, nous embellissons,

Apportant au texte soleil et pluie, en symbiose


Dans le silence, les idées s'éveillent,

Les pages blanches se teintent de nos voix,

Écrire, c'est la magie qui émerveille,

Un dialogue secret entre soi et le choix.


Au gré des tournures, des hésitations,

L'encre coule comme un fleuve en furie,

L'écriture nous guide vers l'illumination,

Elle nous révèle, comme un jour qui s'illumine.


Chaque mot, une note dans la symphonie,

Chaque phrase, un pas sur le chemin rêvé,

L'écriture devient danse, mélodie,

Où nos âmes s'expriment, librement levées.


Malgré l'inspiration qui jaillit de notre être,

Un souffle extérieur vient aiguiser notre plume,

Les mots des autres, comme des étoiles à reconnaître,

Éclairent notre chemin, chassant doutes et lacunes.


©Christiane 

jeudi 23 octobre 2025

Au nom d'une femme

 


Au nom d’une femme

Un peu d'amour, j'en réclame,

Un peu d'amour, chante-le, écris-le pour moi.

Un peu d'amour, j'en réclame.


Elle te fera changer la course des nuages.

Balayer tes peines, c'est écrit.

Tu l'entendras crier, soupirer dans le fond de la nuit.

Elle t'habitera, elle ne sortira plus de ta mémoire.


Elle t'enverra des étoiles dans les yeux.

Il te suffit d'un peu d'amour, tous les jours.

Si tu crois qu'elle t'ignore, tu as tort.

Si tu l'aimes, aime-la encore plus fort.


Au nom d'une femme,

Un peu d'amour, j'en réclame.

Un peu d'amour, ravive la flamme.

Un peu d'amour, chante-le, écris-le pour moi.

C'est dans tes yeux qu'elle se noie.


C'est dans tes mots qu'elle se voit.

Pour mieux la retenir et te créer un avenir,

Laisse ton cœur parler, et laisse ta main te guider.

Et ta plume s'envole au gré du vent.


Serait-ce pour toi un dilemme de dire "je t'aime"?

Entre réalité et imagination,

Pas facile de contrôler tes émotions.

Tu préfères dès lors fusionner deux âmes en perdition.


Au nom d'une femme,

Un peu d'amour, j'en réclame.

Un peu d'amour, chante-le, écris-le pour moi.

Un peu d'amour, j'en réclame.

©Christiane


mardi 21 octobre 2025

Le clown est triste

 


Ami(e)s ,ce soir,le clown est triste.

Sous son masque coloré.

Son cœur est brisé, il peine.

Il ne peut plus rire ni amuser.

Juste les larmes à couler.


Pardonne-lui, il n'y est pour rien.

D'avoir tant de chagrin.

Je sais que tu voudrais bien.

Le voir sourire et faire le pitre.


Être artiste, pourtant,

Il fait son dernier tour de piste.

Masqué, dissimulant ses secrets,

Désolé, ce soir, le clown est triste.


Il a grimé toutes ses grimaces.

Effaçant les douleurs, mais il y fait face.

Les yeux levés vers le ciel,

Ses larmes perlent, où est le rire ?

L'instant est trop dramatique.


Comme tout le monde, il a ses tragédies,

Surmontant parfois la maladie.

Malgré cela, il se donne en spectacle.

Apportant des rêves, relevant toutes les épreuves.


Pardonnez-moi, ce soir le clown est triste.

Ses yeux brillent comme des lucioles.

Pour vous, juste une dernière cabriole,

Il y a des jours où le cœur n’y est pas.


J'ai perdu la voix, ne vous étonnez pas.

Il y a quelque chose qui ne passe pas.

J'ai dû avaler l'embout de mon tuba.

Voilà pourquoi je suis comme ça.

©Christiane


Ombres d'un Coeur

 


Quand l'amour n'a plus d'adresse

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.



Mon cœur t'a aimé.

Ma bouche t'a embrassé.

Mes bras t'ont enlacé.

Nos corps se sont mêlés.


Que me reste-t-il aujourd'hui,

Des jours et des nuits de solitude ?

Des souvenirs heureux parmi les saisons.

Et je suis là, encore à te rêver.


Une douce romance, une attirance,

Des regards profonds et chaleureux.

J'écoute notre mélodie et ferme les yeux.

Frissonnante sous ces mots mielleux.


Quand l'amour n'a plus d'adresse,

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.


Voilà minuit qui sonne à l'horloge,

Une lueur dans le ciel, tu es là, mon étoile.

Tu m'inspires et m'attires ;

À fermer les yeux, ce serait mieux.


Mes mots sont si intenses.

Que j'en ai retenu les tiens.

Mon émotion est indescriptible.

Les perles glissent sur ma joue.


Tu as été mon sourire, mon rayon de soleil.

Et sans toi, ce n'est plus pareil.

Tout est gris, et je sombre dans le sommeil.

Et en moi, ton amour demeure.


Quand l'amour n'a plus d'adresse,

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.


©Christiane 


vendredi 17 octobre 2025

Bonheur du Jour

 


Un matin, un réveil et comprendre

Que la vie est un train, un voyage,

Un quotidien dont le contenu nous échappe.

On vit un moment, un présent, et on le vit pleinement.


Nous sentons notre corps, notre esprit.

Nous sommes propriétaires de notre être.

Et personne ne nous enlèvera notre intime liberté.

On s’assure, on s’assume, même dans l’adversité la plus terrible.


On devient actifs, laissant disparaître la lassitude.

On avance, le regard brillant sur l’horloge du temps.

Je me pose parfois un instant, puis reprends l’ascension.

En me contentant de peu, mais sachant qu’on a tout.


Vivante… Je respire… C’est ce qui compte.

Je m’abreuve, je me nourris et j’apprends.

La tête sur les épaules, je m’octroie à rêver

De lire, d’écrire, de composer sans jamais me lasser.


J’emprunte le chemin de la connaissance.

Simplement, suivant les étoiles des plus grandes.

Un poète, un écrivain… Aussi humbles et sereins,

Philosophe, j’écris quelques-unes de leurs strophes.


Ô bonheur du jour,

De l’aurore au crépuscule,

J’aime lorsque tu guides ma plume.

Entre l’amour et la réalité, rien n’est de trop pour l’imaginer et l’exprimer.


Que tu sois un monde à toi-même,

Ne refuse pas un peu d’aide.

Une main tendue, des sentiments, un bras pour te serrer contre toi,

Une oreille qui t’écoute, une bouche qui te susurre… Lève-toi… Bats-toi.

©Christiane 


Décès de Brigitte Bardot

  Date/Lieu de naissance :  28 septembre 1934, 15e Arrondissement, Paris, France Date de décès :  28 décembre 2025 Époux :  Bernard d'Or...