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mardi 21 octobre 2025

Ombres d'un Coeur

 


Quand l'amour n'a plus d'adresse

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.



Mon cœur t'a aimé.

Ma bouche t'a embrassé.

Mes bras t'ont enlacé.

Nos corps se sont mêlés.


Que me reste-t-il aujourd'hui,

Des jours et des nuits de solitude ?

Des souvenirs heureux parmi les saisons.

Et je suis là, encore à te rêver.


Une douce romance, une attirance,

Des regards profonds et chaleureux.

J'écoute notre mélodie et ferme les yeux.

Frissonnante sous ces mots mielleux.


Quand l'amour n'a plus d'adresse,

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.


Voilà minuit qui sonne à l'horloge,

Une lueur dans le ciel, tu es là, mon étoile.

Tu m'inspires et m'attires ;

À fermer les yeux, ce serait mieux.


Mes mots sont si intenses.

Que j'en ai retenu les tiens.

Mon émotion est indescriptible.

Les perles glissent sur ma joue.


Tu as été mon sourire, mon rayon de soleil.

Et sans toi, ce n'est plus pareil.

Tout est gris, et je sombre dans le sommeil.

Et en moi, ton amour demeure.


Quand l'amour n'a plus d'adresse,

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.


©Christiane 


mardi 7 octobre 2025

Les Amants d'Hier

 


Un jour sans toi, c’est comme un jour sans soleil,

Cette solitude pèse sur moi, lourd fardeau.

Je me réfugie dans mes songes, espérant te retrouver.

Laissez jaillir mes sens, bercés par la sensualité.


Je sais, comme toi, les fantasmes qui traversent ton esprit.

Dans ces nuits enflammées, souvenirs que tu m’as offerts.

Je les revis dans mes chimères éphémères.

Nul doute que toi aussi, tu en fais de même.


Nous sommes les amants d’il y a vingt ans.

Nos gestes aussi chauds qu’un volcan en éruption.

Un afflux de sang filtre, délicieuses sensations.

Nos corps s’entrelacent, effleurant la passion de la courbe d’un sein.


Suis-je une sculpture entre tes mains,

Façonnant cette volupté d’aimer,

Mêlant douceur et souffrance,

Je m’abandonne à ces sensations de délivrance.


Nos désirs et fantasmes sont si forts.

Que nos nuits endiablées froissent des draps inutiles.

Et si j’enfreins la restriction de mes émotions,

Pardonne-moi le cri de la passion lors de l’explosion.


©Christiane

samedi 27 septembre 2025

Au jardin de mon âme


 

Sur le regard de ce visage, si tu y plonges au fond de ses yeux .

Là se trouvent tous les secrets de cette femme et sa beauté

 intérieure .

C'est dans sa profondeur que tu parviendras à contacter le

 cœur de son âme .

Tu seras en mesure de savoir exactement son ressenti

 envers toi .


Sans dire un mot , tu verras miroiter la douceur

Tu ressentiras ses émotions de son jardin d'amour

Tu seras responsable si de sa mirette des perles coulent de

 bonheur

Et si ces gouttelettes sont celles de ses blessures , tu devras

 les éponger de ta main


En entrant dans ma vie , tu as traversé le portail du jardin

Dans mes écrits , tu retrouveras mes mots fleurs à

 contempler

Mes mots Marguerites à effeuiller

Mes mots roses à ressentir , mes mots larmes à recueillir


Chacun est responsable de son jardin

Il y a des endroits où les mauvaises herbes grandissent ,

 il faudra dès lors les arracher

A travers les sentes , les parterres y sont ensemencer et là

 grandira les fleurs les plus belles

A toi d'en devenir le gardien de l'entretien .


Regarde encore au plus profond de mes yeux

Vois-tu toujours cet oasis de paix et d'amour ?

Si tu t'y prends bien , laisse glisser tes doigts sur mes

 lèvres

Se dessinera alors un joli sourire , cela sera le tien .


Perçois tu en mes poèmes cette sensibilité ?

Mais encore cette passion que je voudrais caché

En ma plume , dévoilerait mon côté coquinette

Mais l'oiseau s'envole et reste discret


Je sais que l'amitié est aussi fragile que l'amour

Et pourtant , je laisse planer le rêve et la réalité

Et si ton être en a besoin , balade toi dans mon refuge

Abrites toi , sous mon aile et berces toi en mes mots


L'amitié et l'amour

ceux-ci sont comme les cordes d'un violon

Il ne faut pas trop les tendre

L'harmonie c'est juste d'apprécier , de s'évader .


Te voilà à contempler ma face

Prendras tu du plaisir de te fondre en moi ?

De te laissez engloutir dans le miroir de l'âme ?

Amoureux littéraire , de mon regard , tu ne peux te défaire .

©Christiane

Le temps nécessaire