Au Quotidien

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lundi 3 novembre 2025

L'Extase des Rêves

 



Je chéris dans mes rêves cet émoi précieux.

Que seul le poète a su m'offrir,

Un souvenir vibrant, laissant l'empreinte de nos étreintes,

Sur la toile où se dessine l'ivresse de nos désirs.


Dans ce monde, existe un lieu où l'amour règne en maître.

Un jardin rempli de tendresse, entre toi et moi,

Un univers où nos âmes se fusionnent en harmonie,

Sous la clarté de la lune, deux plumes qui s'animent.


Sous cet astre qui éclaire deux êtres qui s'aiment,

Nos mains se joignent et se serrent.

Voyageant d'une page à l'autre,

Dans la douceur et la vigueur de nos élans, exprimés en messages.


Combien de sentiments indicibles dans mon cœur !

L'envie de te faire ressentir ma présence,

Un simple soupir surgissant dans la nuit,

Qui se mue en un cri d'extase, dépassant toutes frontières.

©Christiane


samedi 1 novembre 2025

Échos d'une Nuit d'Amour

 


Je ferme les yeux et m'étends.

Pour mieux les entendre, les voir danser sur du papier.

Écouter et me laisser bercer par une mélodie

Et rêver pour qu'ils prennent vie.


Raviver la flamme de mon corps endormi,

Ressentir tes doigts dans une caresse attendue,

Sentir ton souffle dans mon cou,

Douce fièvre soupirant des "je t'aime"

Soupirs dans une nuit qui s'achève.


Deux corps en mouvement,

En-dehors de l'espace-temps,

Dans mes chimères que je sais éphémères,

Désirs ardents qui me rendent féconde.

De cet amour, il ne faut pas en avoir honte.


À l'aurore, je me réveille.

Apaisée et fraîche comme la rose.

Il me vient soudain une envie.

D'écrire et de faire des proses,

Empressée et pleine d'audace.


Je rougis, ai-je dit son nom ?

De celui qui m'a inondée d'envies pendant la nuit,

Nuit câline et de folie.

Son visage s'illumine dans chaque mot que je lui destine.

Un sourire aux lèvres, je sais que je l'apaise.


©Christiane


mardi 21 octobre 2025

Ombres d'un Coeur

 


Quand l'amour n'a plus d'adresse

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.



Mon cœur t'a aimé.

Ma bouche t'a embrassé.

Mes bras t'ont enlacé.

Nos corps se sont mêlés.


Que me reste-t-il aujourd'hui,

Des jours et des nuits de solitude ?

Des souvenirs heureux parmi les saisons.

Et je suis là, encore à te rêver.


Une douce romance, une attirance,

Des regards profonds et chaleureux.

J'écoute notre mélodie et ferme les yeux.

Frissonnante sous ces mots mielleux.


Quand l'amour n'a plus d'adresse,

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.


Voilà minuit qui sonne à l'horloge,

Une lueur dans le ciel, tu es là, mon étoile.

Tu m'inspires et m'attires ;

À fermer les yeux, ce serait mieux.


Mes mots sont si intenses.

Que j'en ai retenu les tiens.

Mon émotion est indescriptible.

Les perles glissent sur ma joue.


Tu as été mon sourire, mon rayon de soleil.

Et sans toi, ce n'est plus pareil.

Tout est gris, et je sombre dans le sommeil.

Et en moi, ton amour demeure.


Quand l'amour n'a plus d'adresse,

Que l'autre part, et l'autre reste,

Qu'un grand amour est en détresse,

Plus de présence, plus de geste,

Le poète se confesse.


©Christiane 


mardi 7 octobre 2025

Les Amants d'Hier

 


Un jour sans toi, c’est comme un jour sans soleil,

Cette solitude pèse sur moi, lourd fardeau.

Je me réfugie dans mes songes, espérant te retrouver.

Laissez jaillir mes sens, bercés par la sensualité.


Je sais, comme toi, les fantasmes qui traversent ton esprit.

Dans ces nuits enflammées, souvenirs que tu m’as offerts.

Je les revis dans mes chimères éphémères.

Nul doute que toi aussi, tu en fais de même.


Nous sommes les amants d’il y a vingt ans.

Nos gestes aussi chauds qu’un volcan en éruption.

Un afflux de sang filtre, délicieuses sensations.

Nos corps s’entrelacent, effleurant la passion de la courbe d’un sein.


Suis-je une sculpture entre tes mains,

Façonnant cette volupté d’aimer,

Mêlant douceur et souffrance,

Je m’abandonne à ces sensations de délivrance.


Nos désirs et fantasmes sont si forts.

Que nos nuits endiablées froissent des draps inutiles.

Et si j’enfreins la restriction de mes émotions,

Pardonne-moi le cri de la passion lors de l’explosion.


©Christiane

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